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Société


Fondamentaux du Journalisme: Une vingtaine de journalistes outillés à Dédougou

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Fondamentaux du Journalisme

Une vingtaine de journalistes outillés à Dédougou

 

Du  29 au 01 septembre 2016 une vingtaine de journalistes venus du Centre Ouest, du Sud Ouest et de la Boucle du Mouhoun ont été outillé  sur les fondamentaux du Journalisme. Une formation organisée par le Centre National de Presse Norbert Zongo(CNPNZ) et dispensée par  Jean Baptiste Ilboubo et Sita Tarpagdo.

« Les fondamentaux du journalisme », c’est le thème sur lequel la vingtaine de journalistes venus du Centre Ouest, du Sud Ouest et de la Boucle du Mouhoun, ont, durant 4 jours, échangé avec leurs formateurs  dont Jean Baptiste Ilboubo et Sita Tarpagdo. Cette formation organisée par le Centre National de Presse Norbert Zongo (CNPNZ) vise essentiellement à renforcer la capacité des journalistes des provinces. La formation s’est axée principalement sur les fondamentaux que ce soit la presse écrite ou la radio, « il est essentiel pour tout journaliste de maîtriser, de connaître  les fondamentaux  du journalisme » a souligné Jean Baptiste Ilboudo. A l’en croire, il s’agit d’inculquer aux apprenants qu’est-ce que s’est que le journalisme, à quoi set le journalisme,  qu’est-ce que s’est que   l’éthique, qu’est-ce que s’est que   la déontologie. En 4 jours, ce sont autant d’éléments traités par les participants, ce qui convient poursuit-il afin de maîtriser pour tous ceux qui travaillent dans les médias que ce soit la presse écrite ou la radio comme éléments de base essentielle à une bonne pratique de la profession.


02/09/2016
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Le comité CGT/B SOFITEX outille ses militants de Dédougou

Syndicat : Le comité CGT/B SOFITEX  outille ses militants de Dédougou

Le comité CGT/B SOFITEX  a dispensé le jeudi 07 avril 2016 une formation à l’endroit des travailleurs de Dédougou. Objectif : participer à l’élévation de niveau de conscience des militants à la base en leur permettant d’être outillés afin de pouvoir mener à bon escient leurs activités de défense et de protection des droits  des travailleurs.

Cette formation  a pour objectif de participer à l’élévation de niveau de conscience des militants à la base en leur permettant d’être outillés afin de pouvoir mener à bon escient leurs activités de défense et de protection d
es droits travailleurs. Il s’agissait également d’expliquer à la base ce que c’est que la CGT/B, quelles sont ses méthodes et dans quelle mesure ils devraient œuvrer à la défense des intérêts et moraux des travailleurs.  Cela fait plus de quinze ans que le comité CGT/B existe à la SOFITEX, mais qu’attend la coordination  pour une muer en un syndicat professionnel s’interrogent les travailleurs ? « Je ne saurai vous donner une date précise, mais nous sommes déjà engagés dans le processus. Parce que les comités CGT/B constituent une phase transitoire vers le syndicat professionnel. Parce qu’à un moment donné dans une branche d’activité quelconque, il n’existe pas d’organisation syndicale ; en ce moment la CGT/B peut intervenir et mettre en place des comités. Voilà comment ont été créés les comités CGT/B à la SOFITEX. Mais il faut souligner que ce sont des étapes vers le syndical professionnel. Et les formations que nous initions, sont aussi des étapes que nous posons dans le processus de l’édification d’un syndical professionnel à obédience CGT/B dans la filière cotonnière » répond Ibrahim Bayo membre de la coordination.  

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Au cours de cette formation la plateforme revendicative de 2014 déposée auprès de la direction, dont il y a eu des acquis mais leur mise en application tarde. Après deux années d’attente après, les travailleurs  ont interpellé les délégués pour plus de célérité autour de ces points d’accord. A en croire le représentant de la coordination, « certains points sont à l’étude et ont un avancement assez intéressant, cependant d’autres points ne sont pas très avancés. Mais je pense que nous n’avons pas rompu la concertation avec la direction dans la mesure où il ya une commission bipartie qui siège sur  ces points qui sont toujours en veilleuse. La dernière séance que nous avons eu ne date pas de plus de dix jours (la formation a eu lieu le jeudi 7 avril 2016 ndlr). Ces différents dossiers ont été évoqués et des délais ont été donnés. Mais nous nous ne pouvons pas dire exactement tel dossier finira à telle date et l’autre à cette date ; Cependant des engagements ont été pris par la direction  pour certains dossiers à savoir ceux relatifs au rappel de l’ancienneté des travailleurs saisonniers devenus permanents. La direction a pris l’engagement de boucler ce dossier d’ici à mai 2016. Mais nous avons bon espoir que la direction saura nous écouter  parce que les travailleurs sont très attentifs sur ces différentes questions et nous ne cessons d’interpeller la direction sur davantage de célérité dans la gestion des dossiers tels que le dossier relatif aux travailleurs saisonniers qui occupent des postes permanents ». Il est à noter que la formation a été suivie d’une assemblée générale au cours de laquelle la coordination a  appelé les travailleurs à plus de mobilisation, à être des travailleurs conscients et à être à l’écoute du comité.

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19/06/2016
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Dédougou: Les journalistes s’approprient le projet EBA-FEM

Dédougou 

Les journalistes s’approprient le projet EBA-FEM

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Dans le souci de susciter l’adhésion des hommes et femmes de médias, le projet EBA-FEM basée à Dédougou a initié les 2 et 3 juin 2016 une rencontre d’information, d’appropriation et de connaissance du dit projet à l’intention d’une cinquantaine de journalistes venus  de la région de la Boucle du Mouhoun et du Centre Ouest, Koudougou. Objectif faire connaître le projet aux populations par le biais des médias de la zone d’intervention de l’existence du projet et s’assurer de leur accompagnement dans la visibilité et la lisibilité du projet EBA-FEM. C’est Maxime Bouda, Secrétaire Général de la région accompagné du DREEVCC, Djakaria Traoré qui a présidé la cérémonie d’ouverture.

Le projet « Réduction de la vulnérabilité des moyens d’existence dépendant des ressources naturelles dans deux paysages menacés par les effets des changements climatiques au Burkina Faso : le corridor forestier de la Boucle du Mouhoun et les zones humides du bassin de la Mare d’Oursi » ou Adaptation Basée sur les Ecosystèmes (EBA-FEM) est un projet placé sous tutelle du Ministère de l’Environnement de l’Economie Verte et du Changement Climatique qui intervient dans la région de la Boucle du Mouhoun. Dans le souci de susciter une plus grande adhésion, le projet EBA-FEM a initié une rencontre d’information, d’appropriation et de connaissance à l’intention d’une cinquantaine de journalistes venus  de la région de la Boucle du Mouhoun et du Centre Ouest, Koudougou  à cet effet.

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En organisant cet atelier d’information et d’appropriation à l’endroit de la presse, il s’agit d’aider le projet à déclarer le chef d’antenne, Jean Yves Lassana Traoré, à donner plus de visibilité et de lisibilité aux populations bénéficiaires et à la longue mettre en place  un réseau de communicateurs en matière d’environnement  afin que toutes les actions  aient plus d’ancrage sur le terrain. Pendant les deux jours d’information et d’échange, les journalistes vont se familiariser au mécanisme de financement du Fond Mondial pour l’Environnement (FEM) dans toute sa composante et également les autres projets intervenants dans le corridor fluvial notamment le projet zone tampon et le Projet Investissement Forestier (PIF) afin de faire comprendre la synergie d’actions qui existe entre ces différents projets.

Pour le chef d’antenne « la presse est incontournable à la mise en œuvre de ce projet non seulement elle permet une meilleure compréhension et une lisibilité de nos actions mais aussi elle fait partir du public cible et privilégié que nous pensons impliquer dès la base ; et avec le maillage des hommes de médias que nous avons dans la région nous comptons utiliser cela à bon escient afin de l’atteinte de nos objectifs ».

 


19/06/2016
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Le Président du MBDHP, Chrizogome Zougmoré condame

Expulsion du Président du MBDHP à Dédougou

Le Président du MBDHP, Chrizogome Zougmoré condame

Suite à l’expulsion du président local du MBDHP/Mouhoun de Dédougou par la chefferie coutumière, le Président du MBDHP, Chrizogome Zougmoré a effectué de Dédougou ce samedi 14 mai 2016 pour lui apporté son soutien et aussi réitérer sa condamnation la plus ferme pour le traumatisme, l’humiliation qu’on a tenté de leur faire avaler.

« Nous avons tenu à être ici ce matin physiquement d’abord pour réitérer notre condamnation la plus ferme de ce que tu as vécu, avec ta famille, le traumatisme que tu as subi, l’humiliation qu’on a tenté de nous faire avaler. Nous sommes venus apporter notre soutien au camarade Lamoussa Kadinza, Président de la section du Mouhoun. Comme vous le savez, il a été victime le dimanche 08 mai 2016 d’une tentative d’expulsion de Dédougou sur ordre du chef de canton. Nous avons trouvé cet acte pas normal, ça nous a même indigné, révolté, nous avons c’est vrai en son temps mais nous avons estimé qu’il était bon que nous nous déplacions physiquement pour lui témoigner toute notre soutien et l’encourager à poursuivre cette lutte, parce que le MBDHP à pour mission la promotion, la protection et la défense des droits humains.  C’est ce que nous faisons du reste depuis près de trois décennies. Il est inadmissible et nous ne pouvons pas tolérer qu’une autorité soit elle politique, administrative, coutumière ou religieuse traite un responsable du MBDHP de la sorte. Ça nous ne pouvons pas le tolérer que ces genres de pratiques continuent toujours d’exister. Nous demandons à l’ensemble de nos militants de continuer de se mobiliser de continuer de soutenir le camarde Kadinza parce que c’est un responsable du MBDHP qui fait normalement et correctement son travail. Il n’est pas question que pour cela, il soit inquiété de quelque manière que ce soit ». C’est la substance du message que le président national du MBDHP, Chrizogome Zougmoré  est venu livrer aux militants et sympathisants de la section locale de Dédougou. En retour « ce geste du Président du MBDHP  est un signal fort pour nous et cela atteste que nous sommes sur la bonne voie » a déclaré Lamoussa Kadinza.

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Le Président national du MBDHP, Chrizogome Zougmoré « Nous avons tenu à être ici ce matin physiquement d’abord pour réitérer notre condamnation la plus ferme » pour ce que Lamoussa Kadinza a vécu


19/06/2016
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Les coutumiers soutiennent, le MBDHP condamne

Expulsion du Président du MBDHP à Dédougou

 

Les coutumiers soutiennent, le MBDHP condamne

 

19 chefs traditionnels apportent leur soutien au chef de canton

Dédougou, la belle cité de Bankuy est depuis le 8 mai 2016 sous les feux des projecteurs suite à la  crise née de l’expulsion du président du MBDHP par les autorités coutumières qui l’accuse d’avoir transgressé les coutumes et qui refuserait de les réparer. Une vingtaine de chefs de canton est venu témoigner sa solidarité et réitérer leur soutien au chef de canton de Dédougou le jeudi 12 mai 2016.

 

Ils étaient 19 chefs de canton venus des la région de la Boucle du Mouhoun et des Hauts Bassins à effectuer le déplacement à Dédougou pour apporter leur soutenir au chef de canton à la suite de la crise née de l’expulsion du président local du MBDHP. «  Ce qui s’est passé à Dédougou a choqué tous les chefs traditionnels et nous sommes venus lui apporter notre soutien moral et dire que nous déplorons tous la situation » a déclaré le chef de canton de Solenzo initiateur de la rencontre. Ainsi tour à tour les chefs traditionnels ou leurs représentants ont pris la parole pour exprimer leur soutien à sa majesté Lombo Dayo, chef de canton de Dédougou. Ils ont demandé le respect des us et coutumes par tous les citoyens.  Revigorer par ce soutien combien capital, celui-ci en retour a déclaré qu’il n’a fait que de respecter que les coutumes et dit avoir tiré leçons de cette crise. « Nous avons tiré les leçons de la crise et nous pensons que les protagonistes aussi en ont tiré également, maintenant nous prônons la paix et le respect de nos us et coutumes » a indiqué Sa majesté Albert L. Dayo. Il a aussi mis à profit la présence de ces hôtes pour leur faire la genèse de la situation.

01.JPG Le chef de Canton de Solenzo, Porte parole des chefs coutumiers.


19/06/2016
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